TRIBUNE - La violente charge contre Volodymyr Zelensky, vendredi dans le Bureau ovale, comme les récentes déclarations de Trump vis-à-vis de l’Europe, s’inscrivent dans un long mouvement d’éloignement des États-Unis, analyse le philosophe.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Pris à revers par un président américain dont les choix n’ont pourtant rien de véritablement surprenant, les Européens se voient contraints de réviser radicalement leur modèle économique et social, analyse l’amiral (2s) Pascal Ausseur.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Tandis qu’une menace pèse sur les Chrétiens d’Orient, la spécialiste du Moyen-Orient Aurélie Pirillo appelle les autorités françaises à reconnaître le génocide des Assyro-Chaldéens.
Si l’urgence d’un réarmement européen massif ne fait plus débat, il va nécessiter des investissements colossaux, alors même que le pays suffoque sous une montagne de dettes.
Il était fondamental, lors de sa prise de parole, mercredi soir, que le président de la République éloigne l’idée d’une mutualisation européenne des décisions militaires. Sans empêcher les alliances et les coalitions, le choix des armes ne peut être que souverain.
Forcés de reprendre le flambeau après le désengagement américain, les Européens sont-ils prêts aux efforts et aux sacrifices qu’impose leur solitude stratégique ?
Les Européens sont pris en étau entre un autocrate belliqueux qui déstabilise le continent et un marchandeur sans scrupule qui négocie son parapluie sécuritaire et les menace d’une guerre commerciale.
En deux votes inédits à l’ONU, les États-Unis se sont ouvertement rangés dans le camp de la Russie et de ses amis, exposant la fracture béante qui les sépare dorénavant de l’Europe.
Une page doit être tournée pour que notre pays cesse de se ridiculiser en étalant son impuissance face à un régime paranoïaque qui vit sur la « martyrologie » de son passé.
L’attentat de Mulhouse, perpétré par un Algérien sous «OQTF», est l’énième conséquence logique d’une haine de nous-mêmes qui nous empêche de refuser celle des autres, à domicile.
Olaf Scholz, de par son indécision et son attitude renfrognée, a paralysé le pays. Friedrich Merz, dont les sondages prédisent la victoire a fait de la relance du tandem franco-allemand, une priorité.