Lors de sa traditionnelle ascension auvergnate, le patron des députés LR a déroulé sa critique à l’encontre de François Bayrou... et sa vision de ce qu’est l’«âme de la droite».
ANALYSE - Participer au gouvernement ? À quelles conditions ? La droite, qui veut incarner l’alternance à Emmanuel Macron, cherche sa place à quelques jours du vote de confiance provoqué par le premier ministre.
Le premier ministre a mis l’avenir de son gouvernement en jeu en se soumettant à un vote de confiance à l’Assemblée, le 8 septembre. Il bénéficie néanmoins du soutien du président des Républicains et ministre de l’Intérieur, fustigé par le Rassemblement national.
ENTRETIEN - À deux semaines de la chute annoncée du gouvernement Bayrou, l’ancien patron de l’UMP appelle le chef de l’État à «s’adresser aux Français et annoncer son départ dans six mois, au lendemain des élections municipales».
Le ministre de l’Intérieur a fustigé la proposition du patron de Renaissance d’ouvrir un débat interne sur la légalisation de la gestation pour autrui. Il dénonce une pratique qui consiste, selon lui, à «louer le ventre des femmes pauvres».
Dans ce texte écrit pour Le Figaro, l’ancien maire de Cherbourg imagine la retraite de l’écrivain et scénariste dans sa maison d’Omonville, à quelques kilomètres de là.
Dans ce courrier imaginaire écrit pour Le Figaro, la ministre de l’Éducation nationale, membre du parti Renaissance, rend un vibrant hommage à son illustre prédécesseur du Front populaire, assassiné par la milice le 20 juin 1944.
Dans ce courrier imaginaire écrit pour Le Figaro, le président du parti Horizons exalte l’«esprit de panache» du père d’Alexandre Dumas. Ce fils d’esclave de Saint-Domingue débarqué au Havre, «premier général métis» et héros de la Révolution, incarne à ses yeux «toutes les vertus du commandement».
Dans ce courrier imaginaire écrit pour Le Figaro, le président Les Républicains du Sénat dresse un portrait de la France, avec ses fragilités, ses menaces et ses valeurs comme signaux d’espérance.
Dans ce courrier imaginaire écrit pour Le Figaro, le ministre de l’Intérieur et président des Républicains rend hommage à «la France qui demeure», comme cette flamme entretenue sous l’Arc de triomphe en mémoire du courage et du sacrifice.