Le réalisateur autrichien Bernhard Wenger signe une fable cruelle et raffinée jusqu’à l’absurde, sur la vie contemporaine. Un humour qui devrait être remboursé par la Sécurité sociale.
Le groupe nord-irlandais punk, coutumier des provocations, est l’objet d’un docufiction. «À Belfast-Ouest, il y a autant de drapeaux palestiniens que de drapeaux irlandais », tempère le réalisateur Rich Peppiatt.
Le retour du Virus de la Fureur en Grande-Bretagne, un petit garçon de 11 ans rêveur se retrouve dans l’espace, un comédien qui tombe sous le charme d’une collègue à Avignon... La sélection cinéma du Figaro.
L’adaptation du jeu vidéo est le deuxième film de l’année à franchir ce cap après Les Tuches. Au total, elle cumule plus de 800 millions de dollars de recettes dans le monde.
Avec un week-end record aux États-Unis et plus de 600 000 entrées en cinq jours en France, l’adaptation du jeu vidéo le plus vendu de l’histoire rencontre un succès fou, à contre-courant de la critique.
Sortie en avant-première en Guadeloupe, Martinique et Guyane, le premier long-métrage de Nelson Foix réalise un énorme démarrage en attirant 40 000 spectateurs en dix jours. Le film sera diffusé le 9 avril en France Métropolitaine.
Alors que le très faible nombre d’entrées montre avant tout le manque d’attrait de la version féministe des Trois Mousquetaires, la Société des réalisatrices et réalisateurs de films (SRF) et l’Union des producteurs de cinéma (UPC) dénoncent « une croisade » de l’extrême droite contre le film.
Sur 39 pays, les plus cinéphiles ont été les Français, devant les Britanniques, les Baltes, les Grecs et même les Ukrainiens. Et les productions locales sont plébiscitées.
Le cinquième volet de la comédie a réalisé le troisième meilleur démarrage de la franchise derrière Les Tuche3:liberté, égalité, fraternituche et Les Tuche 2:le rêve américain lors de sa première semaine d’exploitation.
Ne Zha 2, qui met en scène un petit garçon aux pouvoirs magiques, a recueilli plus d’un milliard de dollars de recettes alors qu’il n’est distribué qu’en Chine.
L’impopularité relative du chanteur britannique outre-Atlantique s’est vérifiée lors du premier jour d’exploitation du film de Michael Gracey, qui a récolté « seulement » 580 000 dollars pour un investissement de quelque 110 millions de dollars.
Lors de la cérémonie organisée par France 2, récompensant les plus gros succès de l’année, l’humoriste a offert au public un nouvel extrait de son film aux 10,8 millions d’entrées, dans lequel figure Clovis Cornillac, Marc Riso et Alice Belaïdi.