CRITIQUE GASTRONOMIQUE - Dans le 10e arrondissement parisien, une cuisine fidèle à ce qu’elle annonce, longtemps d’hier, soudain d’aujourd’hui et plutôt malicieuse à tricoter l’un et l’autre.
LA SÉLECTION DU FIGARO - En front de neige ou disséminées à travers le domaine skiable de la plus haute station d’Europe, ces tables méritent la pause.
«Prenez la traditionnelle volaille, plutôt une pintade, plus goûtue que le poulet à rôtir. Enveloppez-la dans un manteau composé de gros sel, farine, blancs d’œufs et eau, puis enfournez.»
«Le dimanche matin, nous allons en famille au marché de Bangor, où l’on achète du poisson, des tourteaux et des champignons, que vendent les pêcheurs et les maraîchers de l’île.»
Si le déjeuner dominical ne soumet cette cuisinière à aucun rituel, plusieurs plats de son ouvrage, 100 recettes à sauver! À la découverte des trésors culinaires de nos régions, s’y prêtent.
«Selon ce que je trouve au marché, je prépare pour le déjeuner un poulet de Bresse ou un lieu jaune avec un écrasé de pomme de terre et des poireaux vinaigrette.»
«Quand c’est la saison des champignons, j’adore un simple carpaccio de cèpes que j’ai été chercher le matin, avec un peu d’huile de noix, fleur de sel et mignonnette.»