«Paris 2024, c’est maintenant… Ou plus jamais»

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Le Français Alexis Hanquinquant célèbre sa victoire lors de l'épreuve de préparation du triathlon des Jeux paralympiques, le 19 août 2023 à Paris. Dibon Anthony/Icon Sport/ABACA

L’ÉDITORIAL DES JEUX - Les athlètes handisport méritent de recevoir les mêmes doses d'amour que leurs confrères des Jeux olympiques.

26 juillet-28 août. Un mois après le lancement (humide) des Jeux olympiques sur les quais de Seine, voici déjà, ce mercredi, l’heure de plonger la tête la première, non pas dans le fleuve parisien, mais dans la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques à la Concorde. Une grande première pour notre pays, qui, en 1900 et 1924, avait organisé les JO, mais pas les « Para », évidemment inconnus à cette époque-là, la toute première édition remontant à 1960 à Rome.

Le véritable envol de ce grand rendez-vous date de 2012 aux Jeux de Londres. Des stades pleins, des spectateurs séduits et surtout une grande ambiance autour de ces athlètes handisport, qui n’ont rien à envier à leurs homologues valides en termes d’engagement de soi, d’énergie, d’entraînement et de combativité. Privés « d’un petit bout de soi » à la naissance, lors d’une maladie ou d’un accident de vie, ces sportifs se sont souvent reconstruits grâce et avec le sport, y trouvant réconfort…

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