La députée européenne et ancienne ministre des Affaires européennes a toutefois indiqué dimanche sur Radio J que ce n’était pas à elle de qualifier ou non la situation à Gaza de «génocide».
Si la position officielle de la diplomatie française est plutôt mesurée, le gouvernement ayant appelé à la désescalade au Moyen-Orient, ce dernier est pris en tenailles entre des réactions de soutien inconditionnel ou de condamnation absolue de l’intervention américaine en Iran.
RÉCIT - La perspective d’un effondrement de la République islamique ravive les convoitises des opposants en exil ainsi que les voix qui s’expriment de l’intérieur.
ANALYSE - Les 32 pays membres de l’Alliance atlantique doivent se réunir mardi et mercredi à La Haye, aux Pays-Bas, pour entériner une augmentation des dépenses militaires à 5 % du PIB.
DÉCRYPTAGE - Une loi « omnibus » de la Commission vise à simplifier les réglementations pesant sur l’industrie de la défense. Un projet devrait pouvoir être autorisé en 60 jours, au lieu de plusieurs années.
Alexus Grynkewich a été nommé commandant suprême de l’organisation, alors que les alliés s’interrogent sur l’engagement des États-Unis pour la défense de l’Europe.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Ce 1er juin, les Polonais ont élu un nationaliste à la tête de leur pays, Karol Nawrocki. L’ex-ambassadeur français sur place, Patrick Gautrat, explique que le nouveau président est plus idéologue que son prédécesseur, Duda, peu favorable aux aides à l’Ukraine et très trumpiste.
La DSR Bank veut lever 100 milliards d’euros auprès des futurs États actionnaires qu’elle espère convaincre en juin lors du prochain sommet de l’Alliance atlantique.
DÉCRYPTAGE - Huit des 32 membres de l’organisation transatlantique n’atteignent toujours pas l’objectif, alors que celui-ci devrait être relevé au mois de juin.
DÉCRYPTAGE - Sans l’appui américain, les États réfléchissent aux garanties de sécurité qu’ils pourraient proposer à l’Ukraine après l’arrêt des hostilités.
Auditionné par le Sénat, le général commandant les forces américaines en Europe a estimé que l’Ukraine occupe de bonnes positions défensives, et que la Russie n’est pas en mesure de lancer une offensive majeure.
DÉCRYPTAGE - Alors que Donald Trump remet en cause l’article 5 et défend Vladimir Poutine, les pays européens cherchent à sauver l’Alliance, avec ou sans leur grand allié.