Alors qu’il était question de revoir le périmètre d’accès de ce dispositif, afin d’éviter les abus et les fraudes notamment, une partie de la classe politique dénonce son coût grandissant.
L’exécutif a dévoilé ses projets de loi de finances (PLF) et de financement de la sécurité sociale (PLSS) jeudi 10 octobre. Le Figaro passe en revue les principaux points à retenir de ce budget 2025 censé redresser les finances de la France.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - La vente d’Opella par Sanofi ne sera pas refusée par l’État comme l’avait été celle de Biogaran. On ne peut pas dire non à tout.
LA VERIFICATION - Un député RN a estimé que l’effort demandé aux ménages dans le cadre du budget «est très mal réparti», avec «7 milliards d'euros sur les classes moyennes et populaires et seulement 2 milliards d'euros sur les plus privilégiés». A-t-il raison ?
CHRONIQUE - La formidable plongée de l’économiste Jean-Marc Daniel dans les leçons du passé offre aux lecteurs une lumière inédite sur les défis d’aujourd’hui.
Invité dimanche du « Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat », le premier président de la Cour des comptes a considéré que la France n’était ni « la Grèce » ni « en faillite ».
Pressenti pour devenir premier ministre à la place de Michel Barnier, le président LR de la région des Hauts-de-France a déclaré au Parisien n’avoir pas d’amertume et vouloir «aider au succès du nouveau gouvernement».
CHRONIQUE - Le budget 2025 montre que si la droite libérale grogne un peu face aux augmentations d’impôts, elle reste incapable de changer de philosophie pour vraiment sabrer dans les dépenses.
DÉCRYPTAGE - Nouvelles taxes, réduction des allégements de charges… Les entreprises font les frais du budget 2025. Elles redoutent un impact sur la compétitivité et l’emploi.
Les crédits dédiés aux monuments historiques et aux musées vont baisser de 15 millions d’euros en 2025. Le ministère de la Culture compte sur un amendement, porté par le gouvernement, dans le débat parlementaire, pour rectifier le tir.