FIGAROVOX/TRIBUNE - Alors que le tribunal administratif de Toulouse a suspendu les travaux de l’A69, jeudi 27 février, l’ancien ministre de la Transition écologique plaide pour un changement législatif visant à encadrer les recours quand l’utilité publique d’un projet a été jugée valable.
FIGAROVOX/CHRONIQUE - Ce week-end, les débordements dans les manifestations féministes à Paris et la violence du gouvernement de transition syrien ont été négligés par certains médias qui sous-estiment les violences de l’extrême gauche et des islamistes, estime notre chroniqueur.
FIGAROVOX/TRIBUNE - La ministre des Sports, Marie Barsacq, a estimé ce 5 mars que l’interdiction du port du voile dans le sport n’était « pas une priorité ». Le maire (Nouvelle Energie) de Cannes dénonce ces propos et regrette le manque de clarté du gouvernement sur ce sujet.
Dans ce siècle du rapport de force, la crédibilité sur les questions de sécurité est pour les Européens la condition du respect de leurs rivaux... comme de leurs alliés.
Trump applique la loi du plus fort, quitte à sacrifier ses alliés. En cherchant à tourner la page de la guerre en Ukraine pour mieux affronter la Chine, il trahit Kiev et inquiète Taïwan, Tokyo et Manille.
Si l’urgence d’un réarmement européen massif ne fait plus débat, il va nécessiter des investissements colossaux, alors même que le pays suffoque sous une montagne de dettes.
Il était fondamental, lors de sa prise de parole, mercredi soir, que le président de la République éloigne l’idée d’une mutualisation européenne des décisions militaires. Sans empêcher les alliances et les coalitions, le choix des armes ne peut être que souverain.
Forcés de reprendre le flambeau après le désengagement américain, les Européens sont-ils prêts aux efforts et aux sacrifices qu’impose leur solitude stratégique ?
Les Européens sont pris en étau entre un autocrate belliqueux qui déstabilise le continent et un marchandeur sans scrupule qui négocie son parapluie sécuritaire et les menace d’une guerre commerciale.
En deux votes inédits à l’ONU, les États-Unis se sont ouvertement rangés dans le camp de la Russie et de ses amis, exposant la fracture béante qui les sépare dorénavant de l’Europe.