Le déjeuner du dimanche de… Patrick Rougereau

Au menu, «les œufs de poule de ma maman, façon mimosa. En plat, un carré de cochon, morilles et asperges. Il faut saisir la vitalité de la saison».

«En général je ne cuisine pas, sauf quand il y a du poulet rôti. Je démarre la cuisson sur le coffre, dans une sauteuse avec une huile neutre.»

Un brunch-goûter s’organise à la maison à partir des courses réalisées près de chez lui, à Paris.

«Chez Ooli, à Merry-la-Vallée, pour la cuisine nature d’Aurélien. Et, à Paris, chez Jones, un bistrot avec une pointe d’Italie.»

«Il y a toujours un plat en sauce, qui varie selon la saison.»

«Un poulet en croûte au foin, un baeckeoffe» et en dessert, un flan au caramel ou une île flottante.

«Les dimanches sont des jours de fête où je retrouve mes enfants autour d’un brunch. Après une boisson chaude, on prépare ensemble des crêpes ou des pancakes, un gâteau, des pommes de terre rissolées, des œufs…»

«Une belle côte de bœuf du Limousin au barbecue, gratin dauphinois.»

«Je fais un gratin dauphinois sans le gratiner. Je le mets en croûte feuilletée, servi avec une salade verte.»

Cet épicurien «aime bien faire en cocotte, à cuisson lente, le matin ou la veille, un poulet de Bresse découpé en morceaux, voire désossé..