Le déjeuner du dimanche de… Bruno Oger
«Une belle côte de bœuf du Limousin au barbecue, gratin dauphinois.»
«Une belle côte de bœuf du Limousin au barbecue, gratin dauphinois.»
«Je fais un gratin dauphinois sans le gratiner. Je le mets en croûte feuilletée, servi avec une salade verte.»
Cet épicurien «aime bien faire en cocotte, à cuisson lente, le matin ou la veille, un poulet de Bresse découpé en morceaux, voire désossé..
«Le dimanche midi, si le samedi soir a été arrosé, je me fais un caldito levanta muertos, un bouillon à réveiller les morts, à base d’os de volaille ou de bœuf longuement mijotés, avec des oignons, du citron, de la coriandre, ça remet les idées en place!»
«Je fais un gratin dauphinois comme celui de ma mère. C’est un plat familial qui me rappelle mes origines grenobloises», affirme le chef pâtissier de l’hôtel de Crillon.
«La tortilla de ma grand-mère, avec de grosses pommes de terre et des oignons, confits dans une belle huile d’olive», déclare le nouveau chef exécutif de La Mère Poulard.
«Le gastronomique Shang Palace, Auciel pour la fondue chinoise et Oobatz pour ses fabuleuses pizzas.»
«À la maison, je privilégie des plats où toute la famille peut trouver son plaisir comme dernièrement une fricassée de volaille. Le plus souvent, le marché décide du menu.»
«Les maquereaux à l’escabèche sont simples à faire, et pas chers. Quand j’ai des amis, je prépare un bouillon de légumes avec une saucisse de Montbéliard, parfumée, moutarde de chez Fallot», déclare le chef pâtissier du restaurant Lucas Carton.
«Personne ne reste en cuisine, tout le monde se retrouve à table, autour d’un plat à partager que l’on sauce avec du pain.»