Le déjeuner du dimanche de… Camille Labro
«Chez Ooli, à Merry-la-Vallée, pour la cuisine nature d’Aurélien. Et, à Paris, chez Jones, un bistrot avec une pointe d’Italie.»
«Chez Ooli, à Merry-la-Vallée, pour la cuisine nature d’Aurélien. Et, à Paris, chez Jones, un bistrot avec une pointe d’Italie.»
«Il y a toujours un plat en sauce, qui varie selon la saison.»
«Un poulet en croûte au foin, un baeckeoffe» et en dessert, un flan au caramel ou une île flottante.
«Les dimanches sont des jours de fête où je retrouve mes enfants autour d’un brunch. Après une boisson chaude, on prépare ensemble des crêpes ou des pancakes, un gâteau, des pommes de terre rissolées, des œufs…»
«Une belle côte de bœuf du Limousin au barbecue, gratin dauphinois.»
«Je fais un gratin dauphinois sans le gratiner. Je le mets en croûte feuilletée, servi avec une salade verte.»
Cet épicurien «aime bien faire en cocotte, à cuisson lente, le matin ou la veille, un poulet de Bresse découpé en morceaux, voire désossé..
«Le dimanche midi, si le samedi soir a été arrosé, je me fais un caldito levanta muertos, un bouillon à réveiller les morts, à base d’os de volaille ou de bœuf longuement mijotés, avec des oignons, du citron, de la coriandre, ça remet les idées en place!»
«Je fais un gratin dauphinois comme celui de ma mère. C’est un plat familial qui me rappelle mes origines grenobloises», affirme le chef pâtissier de l’hôtel de Crillon.
«La tortilla de ma grand-mère, avec de grosses pommes de terre et des oignons, confits dans une belle huile d’olive», déclare le nouveau chef exécutif de La Mère Poulard.