Mort de Nasrallah: le monde divisé face à ce nouveau conflit au Proche-Orient

58 parachutistes français et 241 soldats américains qui participaient à la force multinationale pendant la guerre du Liban, tués dans les attentats du Drakkar, en octobre 1983. 12 morts et d’innombrables blessés dans 12 attentats commis en France en 1985 et 1986, dont celui de la rue de Rennes. Des otages occidentaux, dont Michel Seurat, mort en captivité en 1986. De nombreux assassinats d’hommes politiques, dont l’ancien premier ministre libanais Rafic Hariri en 2005. Des meurtres à la pelle de dissidents et d’opposants. 8500 missiles, roquettes et drones tirés contre Israël depuis un an. Des capacités militaires colossales, en partie fournies par l’Iran, tournées contre l’État hébreu, considéré comme une « tumeur cancéreuse » destinée à être « extirpée ». Voilà la liste, à peine ébauchée, des faits d’armes du Hezbollah.