DISPARITION - L’écrivain hispano-péruvien, Prix Nobel de littérature en 2010 et membre de l’Académie française, s’est éteint à Lima, au Pérou. Romancier puissant, cet observateur critique de son temps avait 89 ans.
L’écrivain hispano-péruvien, prix Nobel de littérature en 2010, est décédé ce dimanche à l’âge de 89 ans à Lima, laissant derrière lui une œuvre abondante où s’entremêlent activité littéraire et engagement personnel.
CRITIQUE - Dans une biographie truffée d’anecdotes parue aux Éditions du Rocher, notre confrère Benjamin Puech invite le lecteur à la table de ce grand et beau personnage disparu il y a cinq ans.
CHRONIQUE - L’élégance désuète de l’auteur a du mal à percer l’indifférence et la vulgarité triomphantes. La Chaise est la suite des Taiseux (2009) : il faut croire que les non-dits finissent par déclencher un mutisme contagieux chez les envieux, les abrutis et les médiocres.
CHRONIQUE - On prévient les amateurs de «feel good books» : passez votre chemin. Esther Teillard est le contraire exact de Valérie Perrin. Sa prose est violente, son histoire est dure, mais Carnes est LE premier roman qui décoiffe cette rentrée hivernale.
PORTRAIT - Dans la vie, qu’il a failli perdre il y a peu, comme dans son dernier livre Un homme seul, le romancier, plus pudique qu’il n’en a l’air, oscille entre le burlesque et le tragique, la comédie et le drame. Éternel petit garçon en quête de père.
CHRONIQUE - Avec un mélange de révolte et de pudeur contenues avec peine, notre chroniqueur littéraire brosse le portrait de son père, l’homme qui importa en France le métier de chasseur de têtes.