Après une nouvelle baisse drastique des subventions publiques, l’association d’éducation de promotion de la littérature, risque de cesser ses activités de façon « imminente ».
L’auteur canadien a reçu le prestigieux prix littéraire français en 1979 pour son roman Pélagie-la-Charrette, récit qui raconte la déportation de milliers d’Acadiens vers le sud des États-Unis, il y a 270 ans.
CHRONIQUE - L’élégance désuète de l’auteur a du mal à percer l’indifférence et la vulgarité triomphantes. La Chaise est la suite des Taiseux (2009) : il faut croire que les non-dits finissent par déclencher un mutisme contagieux chez les envieux, les abrutis et les médiocres.
CHRONIQUE - On prévient les amateurs de «feel good books» : passez votre chemin. Esther Teillard est le contraire exact de Valérie Perrin. Sa prose est violente, son histoire est dure, mais Carnes est LE premier roman qui décoiffe cette rentrée hivernale.
PORTRAIT - Dans la vie, qu’il a failli perdre il y a peu, comme dans son dernier livre Un homme seul, le romancier, plus pudique qu’il n’en a l’air, oscille entre le burlesque et le tragique, la comédie et le drame. Éternel petit garçon en quête de père.
CHRONIQUE - Avec un mélange de révolte et de pudeur contenues avec peine, notre chroniqueur littéraire brosse le portrait de son père, l’homme qui importa en France le métier de chasseur de têtes.
CRITIQUE - L’auteur a toujours ses formules à l’emporte-pièce qui claquent, bravaches, en faisant fi des nuances, mais ici, il ne plastronne pas. Le récit est celui d’un petit garçon ébloui par la réussite de papa.
RÉCIT - Nous avons pris le risque de demander au fondateur du prix de Flore de nous raconter l’histoire de cette récompense littéraire non conformiste née il y a tout juste trente ans. Il en dit beaucoup de bien, au mépris de toute objectivité.