Le premier ministre belge Bart De Wever « regrette profondément » l’annulation du concert par le Festival de Flandre de Gand, « qui a gravement terni la réputation de notre pays ».
Une collection de pièces chinoises, qui appartenaient à l’ambassadeur João Rodrigues Simões Affra, a été retrouvée par ses enfants dans leur maison située au nord de Bordeaux. Ce trésor fera l’objet d’une vente aux enchères à l’hôtel Drouot, le 19 septembre prochain.
TRIBUNE - Face à un régime algérien de plus en plus liberticide, dont la seule martingale politique consiste à attaquer notre pays et à jouer de notre faiblesse, ces trois cents jours d’inertie et de silence marquent la fin d’une certaine idée de la France, déplore le maire de Cannes.
TRIBUNE - Du Serment des barbares au Village de l’Allemand, Boualem Sansal a dénoncé les secrets du pouvoir algérien et la force des idéologies qui combattent la liberté. Ces lectures s’imposent pour saisir ce dont est victime l’écrivain, emprisonné depuis le 16 novembre dernier, estime Arnaud Benedetti.
En entamant enfin le bras de fer, le président de la République rompt avec la ligne du Quai d’Orsay de Jean-Noël Barrot et se convertit à celle de Bruno Retailleau.
Christophe Gleizes a été condamné à sept ans de prison ferme pour «apologie du terrorisme». Ses parents ont affirmé à France Inter que les nouvelles sont «satisfaisantes» et espèrent pouvoir lui rendre visite en août.
En 1951, le père du roman noir, accusé d’activités antiaméricaines, est interrogé par la justice. Refusant de témoigner, il est condamné à six mois de prison. Il ne s’en remettra jamais.
Emprisonné en 1928 pour ses écrits et sa parole, le théoricien politique, philosophe et secrétaire du Parti communiste italien, est mort en captivité, neuf ans plus tard, laissant un chef-d’œuvre de 2 000 pages.
Après de nombreuses peines de prison dues à ses comportements déviants, Donatien de Sade, qui a publié Justine en 1791, puis une ode à Marat, est de nouveau incarcéré sur ordre de Robespierre, qui a juré sa perte.
Guillotiné le 25 juillet 1794, reconnu après sa mort pour son génie poétique, élégiaque et bucolique, il fut aussi dès 1790 un journaliste politique d’une grande clairvoyance.
L’auteur de Madame Hayat aurait selon le gouvernement turc envoyé « des messages subliminaux » lors d’une émission de télévision. Une arrestation arbitraire, rappelant le cas de Boualem Sansal.