Avec Kamala Harris comme avec Donald Trump, l’élection américaine ne joue pas en faveur des intérêts européens
ANALYSE - Entre l’imprévisibilité de l’un et l’imprécision de l’autre, l’Ukraine et ses alliés craignent un désengagement américain.
ANALYSE - Entre l’imprévisibilité de l’un et l’imprécision de l’autre, l’Ukraine et ses alliés craignent un désengagement américain.
Le duo de rockeurs a annoncé avoir déposé une plainte contre le candidat à la présidentielle américaine qui a utilisé son morceau iconique, Seven Nation Army, dans une vidéo de campagne.
RÉCIT - La candidate démocrate misait sur le débat pour relancer sa campagne et prendre l’avantage sur un concurrent républicain favorisé par le collège électoral.
Considérée par les médias américains comme la personnalité la plus influente, la chanteuse de 34 ans a annoncé mardi soir son soutien à la candidate démocrate Kamala Harris. Trump a déjà réagi, affirmant qu’elle allait « payer le prix » dans ses ventes.
Lors du débat qui l’opposait à Kamala Harris, l’ex-président s’est fendu d’une saillie concernant les immigrants haïtiens qui se nourriraient d’animaux domestiques. Cette «fake news» est relayée depuis quelques jours par des comptes républicains de droite radicale.
RÉCIT - Dans un post Instagram, la superstar affirme qu’elle votera pour la candidate démocrate lors de la présidentielle de novembre. Une prise de parole attendue, alors que Donald Trump avait faussement revendiqué son soutien.
Entre 2011 et 2013, Donald Trump avait contribué à hauteur de 6000 dollars à la campagne pour la nomination de Kamala Harris au poste de procureur général de Californie.
RÉCIT - Le républicain multiplie les attaques personnelles contre la démocrate, sans succès.
RÉCIT - À deux mois de la présidentielle américaine, le PDG de Meta multiplie les gestes pour apaiser ses relations difficiles avec le candidat républicain, qui l’accuse d’avoir interféré avec le scrutin de 2020.
RÉCIT - En utilisant des codes propres au rap et à la culture urbaine, le candidat républicain à l’élection présidentielle courtise des électeurs traditionnellement acquis aux démocrates : les Afro-américains, les Hispaniques et les jeunes.