La maison de retraite municipale de l’île Barbe est confrontée depuis plusieurs mois à un conflit ouvert entre deux clans parmi la soixantaine de salariés, sur fond de tension communautaires.
Vendredi matin, une trentaine d’étudiants de l’université lyonnaise ont bloqué l’accès au campus pour protester après le refus, par l’administration de l’université, d’organiser une soirée de rupture du jeûne dans une salle de l’université.
Ces pierres taillées témoignent de transmissions culturelles à de très grandes distances dans le monde pré-sapiens, ou d’une convergence évolutive étonnante.
Des chercheurs égyptiens ont mis à jour sur le site de Tell Roud Iskander, la tombe d’un général du dernier grand pharaon du Nouvel Empire, ayant vécu il y a 3200 ans. Des flèches de bronze, des perles et un anneau d’or ont été identifiés dans la sépulture.
A Shengjindian, en Chine, le squelette d’une jeune femme aux dents couvertes de cinabre a été découvert par des archéologues. Les raisons de ce traitement restent encore incertaines.
Une équipe d’archéologue franco-égyptienne a découvert près de Louxor, une amulette mythologique d’or et quelques autres trésors cachés dans un pot en céramique. Selon les spécialistes, les artefacts dateraient de la XXVIe dynastie.
Les vestiges de ce réseau d’irrigation renseignent sur la maîtrise des technologies qui ont permis l’établissement des premières cités mésopotamiennes.
Dans la région des champs Phlégréens, en Italie, une remontée lente du niveau du sol, appelée bradyséisme, a mis au jour un édifice de l’époque impériale le 26 février.
Découvertes dans le parc national de White Sands au Nouveau-Mexique, ces traces d’anciens véhicules servant à transporter des marchandises, permettent de confirmer l’arrivée à cette époque des humains en Amérique du Nord, c’est-à-dire il y a 22 000 ans.
Le ministère de la Culture espagnol et les seize musées nationaux ont adopté une charte d’engagement éthique sur le traitement des restes humains. Près de 15 000 pièces des musées nationaux sont concernées.