Dette publique: faut-il défendre l’Ukraine plutôt que la Mayenne?

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Le président Emmanuel Macron lors de la conférence de soutien à l’Ukraine, organisée à l’Élysée le lundi 26 février. GONZALO FUENTES

CHRONIQUE - Les gouvernements des pays occidentaux voient s’effriter l’adhésion de leurs opinions au soutien du régime ukrainien.

Cet article est issu du Figaro Magazine

Pour annoncer sur le site de l’Élysée que «notre engagement aux côtés de l’Ukraine ne faiblira pas», Emmanuel Macron a choisi une illustration dans le street art. Une peinture murale qui figure rue Buot, laquelle donne sur celle (bien nommée) de l’Espérance, dans le 13arrondissement de Paris. On y voit une petite fille alerte portant les couleurs bleue et jaune de l’Ukraine écrasant des chars de son pied.

Dans le même esprit, le président de la Répu blique a convié ce lundi 26 février à l’Élysée 21 chefs d’État, de gouvernement ou leurs ambassadeurs (d’Amérique du Nord et d’Europe). Afin de réaffirmer le soutien à l’Ukraine, au deuxième anniversaire de l’attaque russe. «L’issue de cette guerre sera décisive, devait-il dire, pour les intérêts, les valeurs et la sécurité européenne.»

La fresque de soutien à l’Ukraine, rue Buot à Paris (XIIIe arrondissement). Only France via AFP

Le président de la République a signé, le 16 février, comme le premier ministre britannique, le chancelier allemand, la présidente du conseil italien, tous membres du G7…

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