Les ZFE peuvent-elles vraiment être abolies ?
DÉCRYPTAGE - Les zones à faibles émissions (ZFE) font l’objet de contestations au Parlement. Mercredi, les députés ont voté en commission leur suppression. Un premier pas vers une abolition définitive ?
DÉCRYPTAGE - Les zones à faibles émissions (ZFE) font l’objet de contestations au Parlement. Mercredi, les députés ont voté en commission leur suppression. Un premier pas vers une abolition définitive ?
REPORTAGE - À l’occasion du campus national organisé par les Jeunes LR, les deux candidats à la présidence du parti ont défendu leur projet en partageant la même scène... sans jamais se croiser.
EXCLUSIF - Menace de départ, bras de fer avec l’Algérie, tiraillements avec Matignon et Laurent Wauquiez... À l’issue d’une semaine houleuse, le ministre de l’Intérieur confie au Figaro vouloir «se battre» et ne pas changer de «trajectoire».
RÉCIT - Le chef des députés LR estime que tant qu’Emmanuel Macron ne dénonce pas les accords de 1968 avec l’Algérie « rester au ministère de l’Intérieur n’a pas de sens ».
RÉCIT - Le ministre de l’Intérieur et candidat à la présidence des Républicains, qui juge avoir réussi à faire entendre sa ligne au sein du gouvernement, assume sa double casquette.
INFO LE FIGARO - Le président du groupe Droite Républicaine à l’Assemblée confie la direction de sa campagne à trois figures LR, mobilisées sur deux axes : la proximité et le renouvellement.
Accompagné de son épouse, le patron des députés LR a tenu un meeting, mercredi soir, à Neuilly-sur-Seine.
À deux mois du scrutin, la course à la présidence des Républicains s’accélère. «On observe un gros avantage Retailleau mais une élection interne n’est jamais pliée d’avance », prévient un élu francilien.
TRIBUNE - Alors que l’avenir du monde s’écrit aujourd’hui sans l’Europe et sans la France, la lucidité doit nous appeler au sursaut, exhorte le président du groupe Droite républicaine à l’Assemblée nationale et candidat à la présidence des Républicains.
DÉCRYPTAGE - Si les questions du nom du parti et de la désignation du candidat à la présidentielle resteront entre les mains de la nouvelle présidence élue en mai, des corrections envisagées visent à protéger le mouvement de dangers qui ont bien failli le condamner.