Le leader insoumis a manifesté son mécontentement sur son compte X après la publication d’une caricature qui, selon lui, cible expressément son physique.
DÉCRYPTAGE - «Le Figaro » détaille les pistes envisagées au niveau gouvernemental pour répliquer au refus d’Alger de reprendre ses ressortissants les plus dangereux.
ENTRETIEN - Élue maire de Pibrac (DVG), en Haute-Garonne, en 2020, Camille Pouponneau a finalement démissionné quatre ans plus tard. Un choix difficile mais inéluctable, qu’elle raconte dans son livre Maires, le grand gâchis publié ce jeudi 20 mars.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le ministre de l’Intérieur a agité la menace d’une démission pour obtenir gain de cause sur le dossier algérien. Pour l’analyste d’opinion Paul Cébille, se maintenir au gouvernement, comme l’a fait Nicolas Sarkozy en son temps, comporte un risque : celui de décevoir d’ici 2027.
Si la possibilité d’accéder aux messageries cryptées des trafiquants a été rejetée, la création d’un «dossier coffre», non versé à la procédure pour protéger les modalités des techniques d’enquêtes spéciales, a, elle, été adoptée.
Alors que la proposition de loi durcissant la lutte contre le narcotrafic est examinée cette semaine à l’Assemblée nationale, les avocats veulent purger la future législation de ses dispositions les plus efficaces.
SONDAGE - Le rapport de force instauré par Bruno Retailleau avec l’Algérie est vu positivement par 67 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro.
DÉCRYPTAGE - En pleine crise diplomatique, le ministre français des Affaires étrangères a réaffirmé l’attachement de la France à l’Algérie, évoquant des «intérêts partagés».
ANALYSE - Entre Bruno Le Maire, qui a été sanctionné pour s’être accroché à Bercy, et Gérald Darmanin, qui a regretté d’avoir quitté Beauvau, les exemples et contre-exemples sont légion en matière de stratégie.
DÉCRYPTAGE - L’exécutif tâtonne après le refus réitéré par Alger de reprendre sur son territoire ses ressortissants dont l’expulsion est réclamée par Paris.
RÉCIT - Le chef des députés LR estime que tant qu’Emmanuel Macron ne dénonce pas les accords de 1968 avec l’Algérie « rester au ministère de l’Intérieur n’a pas de sens ».
Les menaces de démission de la part du ministre de l’Intérieur et du ministre de la Justice s’inscrivent dans une volonté de démonstration de poids politique.
TRIBUNE - Contrairement à ce qui a pu être soutenu, dénoncer l’accord du 27 décembre 1968 relève de la compétence partagée du président de la République et du premier ministre, explique l’avocat Hugues Hourdin. Le gouvernement dispose en outre de la possibilité de suspendre l’application de l’accord.