«Ma démission arrangerait mes adversaires mais je ne leur ferai pas ce plaisir» : la semaine sous haute tension de Bruno Retailleau

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   FIGAROVOX/TRIBUNE - Le ministre de l’Intérieur a agité la menace d’une démission pour obtenir gain de cause sur le dossier algérien. Pour l’analyste d’opinion Paul Cébille, se maintenir au gouvernement, comme l’a fait Nicolas Sarkozy en son temps, comporte un risque : celui de décevoir d’ici 2027.

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   SONDAGE - Le rapport de force instauré par Bruno Retailleau avec l’Algérie est vu positivement par 67 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro.

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   Les menaces de démission de la part du ministre de l’Intérieur et du ministre de la Justice s’inscrivent dans une volonté de démonstration de poids politique.

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   TRIBUNE - Contrairement à ce qui a pu être soutenu, dénoncer l’accord du 27 décembre 1968 relève de la compétence partagée du président de la République et du premier ministre, explique l’avocat Hugues Hourdin. Le gouvernement dispose en outre de la possibilité de suspendre l’application de l’accord.

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    Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a promis ce lundi soir une « réponse graduée » après le rejet par Alger de la liste des individus algériens « dangereux » que la France veut expulser.