La tension nerveuse est à son comble dans le match qui, à Singapour, voit s’affronter le tenant du titre mondial, le Chinois Ding Liren, et le prodige Indien Gukesh. Le score est de 6 à 6. Il reste deux parties classiques à jouer avant un éventuel départage en cadence rapide.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - Le champion du monde chinois et son challenger indien de 18 ans, qui se dispute le titre mondial à Singapour jusqu’au 15 décembre, ont produit dès les trois premières parties (sur 14) un jeu de grande qualité.
Le match pour le titre suprême entre le prodige de Madras, tout juste 18 ans, et le champion du monde chinois Ding Liren tient toutes ses promesses. Après avoir perdu la 1ere partie le plus jeune challenger de l’histoire vient d’égaliser de belle manière dans la 3e. Le score est de 1,5 à 1,5.
Le champion du monde chinois a démenti tous les pronostics, qui le disaient en proie à la dépression, en remportant à l’aide d’une implacable stratégie son premier affrontement face à l’Indien Gukesh.
Le match pour le titre suprême en 14 parties entre le tenant du titre le Chinois Ding Liren et le challenger de 18 ans, Dommaraju Gukesh se déroule du 25 novembre au 15 décembre à Singapour. Les paris sont ouverts car le champion semble souffrir de «fatigue mentale».
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - Du 20 novembre au 15 décembre à Singapour le tenant du titre suprême, le Chinois Ding Liren, remettra sa couronne en jeu face un prodige de 18 ans, né à Madras. Malgré son inexpérience, ce dernier semble avoir de bonnes chances de l’emporter.
LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - Calcul ou intuition : la stratégie aux échecs ne suit pas toujours une voie rationnelle. Cette chronique, à l’aide d’exemples de Capablanca et Carlsen, tente de montrer comment les plus grands maîtres naviguent sur l’échiquier.
Le jeune grand maître international de 22 ans, d’origine ukrainienne et qui joue sous le drapeau roumain, a été exclu du championnat d’Espagne par équipe après que son mobile a été découvert dans les toilettes.
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LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - Le VIIe champion du monde d’échecs, Vassily Vassilievitch Smyslov, possédait une formidable compréhension positionnelle qui lui permettait de prendre insensiblement l’avantage dans les parties apparemment égales.