François Bayrou a publié mardi soir le premier épisode de sa série de vidéos «FB Direct» dans laquelle il souhaite échanger avec les Français à propos des efforts budgétaires à venir. Une initiative reçue fraîchement par les internautes.
EXCLUSIF - Dans une lettre adressée à François Bayrou que nous dévoilons, le chef de l’État constate les « difficultés croissantes » avec le régime d’Alger et charge le gouvernement de « prendre des décisions supplémentaires ».
Les Sages ont considéré que les dérogations autorisant l’utilisation du produit de la famille des néonicotinoïdes n’étaient pas assez encadrées. Emmanuel Macron «a pris bonne note de la décision du Conseil constitutionnel» et «promulguera la loi», a indiqué l’Élysée.
Agriculteurs, banquier ou Français lambda... de nombreux citoyens ont lancé des pétitions en réaction à celle qui cumule aujourd’hui plus de 1,6 million de signatures.
La jeune Française de 23 ans ne souhaite pas répondre aux sollicitations médiatiques, estimant que «les voix qui s’élèvent partout dans le pays» contre la réintroduction sous condition d’un pesticide la représentent «déjà très bien».
DÉCRYPTAGE - Le gouvernement a coupé de 15 millions d’euros les crédits dédiés à l’Agence Bio, chargée de promouvoir ce moyen alternatif de production sans pesticides.
Tout n’est pas rose dans l’industrie florale, régulièrement pointée du doigt pour son impact environnemental et l’utilisation massive de pesticides. Découvrez nos conseils pour choisir ou offrir des fleurs sans pesticides, et ainsi adopter une démarche plus respectueuse de l’environnement.
REPORTAGE - Biocontrôle, flash UV ou «plantes de services», de la serre au verger, les chercheurs Inrae testent différents leviers pour se passer, à terme, des produits de synthèse.
Si l’accord est signé par les membres de l’Union européenne, certains produits en provenance d’Amérique du Sud seraient exemptés de droits de douane. Et pourraient prendre une place plus importante dans l’alimentation des Français.
Présenté ce lundi par le ministre de l’Agriculture, il vise à réduire de 50 % la consommation des produits phytosanitaires d’ici à 2030 tout en favorisant la recherche de solutions alternatives.
ANALYSE - Les agriculteurs réclament le remplacement du principal outil de mesure de l’usage des pesticides en France. Pour les ONG environnementales, son maintien est une «ligne rouge».