GRAND ENTRETIEN - L’intellectuel conservateur britannique dénonce l’orientation prise par une frange de la droite américaine. Ce virage tient notamment à leur perception d’une menace russe moins préoccupante que celle incarnée par la Chine, selon lui.
ENTRETIEN - Face à la Russie, Margus Tsahkna souligne l’importance clé du rôle de la France et de sa dissuasion nucléaire. Il dit voir un «vrai réveil» du continent européen en matière de défense.
TRIBUNE - Contrairement à ce qui a pu être soutenu, dénoncer l’accord du 27 décembre 1968 relève de la compétence partagée du président de la République et du premier ministre, explique l’avocat Hugues Hourdin. Le gouvernement dispose en outre de la possibilité de suspendre l’application de l’accord.
Depuis le retour à la Maison-Blanche le 20 janvier du président républicain, le train fou de la nouvelle politique américaine est lancé à pleine vitesse, sans que l’on puisse dire ce qui, dans tout cela, est sous contrôle.
Le président russe détient le verrou de la paix. Une connivence avec Donald Trump pourrait lui permettre d’atteindre ses objectifs à bien moindre coût que n’importe quelle guerre.
La drôle de négociation de paix qui s’est engagée entre l’Ukraine et la Russie ressemble à une distribution de bons points et de blâmes par un maître d’école impatient installé à Washington.
Cela fait quatre mois que l’écrivain a été arrêté et jeté en prison. Il n’a eu de cesse de rappeler la fragilité des intérêts vitaux et immatériels d’une nation. Avec lui, c’est l’âme de la France qui est embastillée de l’autre côté de la Méditerranée.
Dans ce siècle du rapport de force, la crédibilité sur les questions de sécurité est pour les Européens la condition du respect de leurs rivaux... comme de leurs alliés.
Trump applique la loi du plus fort, quitte à sacrifier ses alliés. En cherchant à tourner la page de la guerre en Ukraine pour mieux affronter la Chine, il trahit Kiev et inquiète Taïwan, Tokyo et Manille.