Pathé Films annonce que la version étendue du film avec Pierre Niney sera projetée le 11 avril 2026 au Palais des congrès de Paris. La musique du long-métrage sera jouée en live par un orchestre.
Le Britannique, qui souffre d’une neurofibromatose, incarnera le personnage de Joseph Merrick, joué en 1980 par John Hurt dans le chef-d’œuvre de David Lynch.
L’administration Trump s’est amusée à représenter le président américain dans la peau d’un guerrier de l’univers Star Wars et s’est attaquée aux « fous de la gauche radicale qui se battent si durement pour ramener les Seigneurs Sith » aux États-Unis.
Les Éditions du Chêne publient pour la première fois l’intégrale de son guide du Musée des Offices à Florence. Sept tomes, dont une histoire de la peinture et une galerie de portraits de peintres. Retour sur une découverte exceptionnelle.
Le long-métrage de la réalisatrice Houda Benyamina, en salles le 22 janvier 2025, met en scène des mousquetaires, campés par Oulaya Amamra, Déborah Lukumuena, Daphné Patakia et Sabrina Ouazani.
Après plus de trois mois d’exploitation, l’adaptation du roman d’Alexandre Dumas par Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, entre dans le top 20 des films français les plus vus de l'histoire.
Le chanteur souhaite monter son propre spectacle musical «depuis des années». Au micro de RTL, il annonce avoir choisi le roman d’Alexandre Dumas pour ce projet.
L’adaptation du roman d’Alexandre Dumas, avec Pierre Niney dans le rôle du héros vengeur, continue dix semaines après sa sortie à caracoler en tête du classement hebdomadaire de la fréquentation en France avec 7,7 millions de spectateurs.
L’adaptation triomphale du roman d’Alexandre Dumas par Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, qui a déjà séduit 7 millions de spectateurs, fait aussi augmenter de 30% la fréquentation de la forteresse de la rade de Marseille où le héros passe injustement quatorze ans de sa vie.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Si l’adaptation cinématographique du livre de Dumas est une réussite, la seconde partie du film ampute une grande part de la complexité du personnage principal, estime le directeur général adjoint de l’Institut Thomas More Aymeric de Lamotte.