TRIBUNE - Dans une lettre adressée le 27 mai 1942 à l’archevêque de Toulouse, le général de Gaulle évoque un «certain aspect de l’atroce situation dans laquelle se trouve notre pays». Un document méconnu que le président des Fils et filles de déportés juifs de France reproduit ici en intégralité.
RÉCIT - Le soir du 24 août 1944, cet ancien séminariste, rallié très tôt à de Gaulle, fut l’un des premiers à pénétrer dans la capitale sur son char aux côtés de républicains espagnols et d’autres FFL.
TRIBUNE - Dans cette circonstance très spéciale, et dans celle-ci seulement, il est plus fidèle à l’héritage du gaullisme de voter en faveur du Nouveau Front populaire que de risquer de laisser gagner le Rassemblement national, estime l’historien des idées François Cusset.
TRIBUNE - Si Emmanuel Macron multiplie les hommages au Général, et que l’ensemble du spectre politique formule des allusions à l’homme du 18 Juin, de Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen, aucun n’est parvenu à faire valoir ses titres d’héritier, analyse la chroniqueuse d’origine belge*.
REPORTAGE - Malgré le très le lourd désaveu des européennes, le chef de l’État a célébré le 84e anniversaire de l’appel du 18 Juin au Mont-Valérien puis sur l’île de Sein.
FIGAROVOX/HOMMAGE - Dans un texte très personnel, la candidate Reconquête! aux Européennes raconte sa rencontre avec l’ancienne conseillère de Georges Pompidou et Jacques Chirac, morte mercredi à l'âge de 90 ans. Une femme libre et exigeante, se souvient-elle.
FIGAROVOX/TRIBUNE - L’ancien haut fonctionnaire à la Commission européenne analyse l’antagonisme profond entre les visions du général De Gaulle et celle de Jean Monnet sur l’Europe. À un mois et demi des élections européennes, il constate que cette divergence demeure encore aujourd'hui.
Mort ce mercredi, l’amiral de Gaulle était l’unique garçon et le dernier enfant encore en vie du fondateur de la Ve République.
CRITIQUE - De Gaulle gouverna avec une poignée de fidèles surnommée ses «barons».
FIGAROVOX/ANALYSE - Voilà 60 ans, le 22 août 1962, de Gaulle réchappait de l’attentat du Petit-Clamart, qui a stupéfié la France. Pour autant, en mars 1963, au terme du procès et de la condamnation à mort de Bastien-Thiry, la grande majorité des éditorialistes et écrivains qui ont pris position sur son exécution l’ont soit désapprouvée soit blâmée, raconte le rédacteur en chef de FigaroVox et des pages Débats du Figaro.