Invité ce lundi sur France Inter, l’ancien président de la République a estimé qu’il revenait aux organisations syndicales d’organiser les mobilisations sociales.
Dans un entretien au Parisien-Aujourd’hui en France, le chef du gouvernement, qui se prépare à défendre son projet d’économies budgétaires à la rentrée, étrille l’appel à la mobilisation du 10 septembre baptisée «Bloquons tout».
ENTRETIEN - À deux semaines de la chute annoncée du gouvernement Bayrou, l’ancien patron de l’UMP appelle le chef de l’État à «s’adresser aux Français et annoncer son départ dans six mois, au lendemain des élections municipales».
ANALYSE - Participer au gouvernement ? À quelles conditions ? La droite, qui veut incarner l’alternance à Emmanuel Macron, cherche sa place à quelques jours du vote de confiance provoqué par le premier ministre.
Dans ce courrier imaginaire écrit pour Le Figaro, le président Les Républicains du Sénat dresse un portrait de la France, avec ses fragilités, ses menaces et ses valeurs comme signaux d’espérance.
ANALYSE - Alors que la gauche se réjouit de la décision des Sages, la droite a dénoncé « l’ingérence » du Conseil constitutionnel dans la fabrique de la loi.
DÉCRYPTAGE - Le patron du parti Bruno Retailleau, qui croit au renouvellement des visages, doit composer avec les «anciens» ayant participé au mandat présidentiel de Nicolas Sarkozy.
DÉCRYPTAGE - En Conseil des ministres, Bruno Retailleau a fait part de son franc désaccord avec le projet de révision constitutionnelle porté par François Bayrou.
Sans surprise, la commission nationale d’investiture LR a choisi l’ex-premier ministre pour mener bataille dans la 2e circonscription. Mais le vote de lundi soir n’aura pas empêché la ministre de la Culture de menacer de se lancer face à lui.
Selon nos informations, l’ancien président Nicolas Sarkozy aurait encouragé la ministre de la Culture à accepter l’échange organisé dimanche soir au ministère de l’Intérieur en vue d’apaiser les tensions avant la commission nationale d’investiture prévue lundi.
Au-delà des cas spécifiques de Michel Barnier et Rachida Dati dans la capitale, les membres de la CNI des Républicains devront statuer sur une quarantaine d’autres situations pour aborder les prochains scrutins en position de force.