Auprès de Valeurs actuelles, le ministre de l’Intérieur a redit que sa présence dans la coalition gouvernementale «n’est pas une adhésion au macronisme», mais est plutôt animée par le refus que «la gauche mélenchonisée» accède «au pouvoir».
Les syndicats représentant les agents publics dénoncent les « jalons austéritaires » posés par François Bayrou, après l’annonce de suppressions de postes et d’une nouvelle année blanche en matière salariale.
Agacé par le ministre de l’Intérieur, qui voulait profiter de ce tête-à-tête pour régler ses comptes avec le président sur l’Algérie, le chef de l’État a reporté à la dernière minute leur entretien prévu ce jeudi après-midi.
Au-delà des cas spécifiques de Michel Barnier et Rachida Dati dans la capitale, les membres de la CNI des Républicains devront statuer sur une quarantaine d’autres situations pour aborder les prochains scrutins en position de force.
Les récentes tensions entre le ministre de l’Intérieur et le chef de l’État semblent cimenter la droite LR derrière le patron du parti et son positionnement non aligné.
ENTRETIEN - Le numéro 2 des Républicains appelle LR à mettre au point un calendrier très concret de toutes les actions à mener pour relever la France, en pariant sur la «clé» du référendum.
ANALYSE - À l’Assemblée nationale comme au Sénat, Les Républicains critiquent le poids des hausses d’impôts sur « la France qui travaille » et demandent au gouvernement d’aller plus loin dans la réduction de la dépense publique.
Alors que le ministre de l’Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, a contesté l’existence d’un « islamo-gauchisme » au sein de l’université française, le vice-président des Républicains propose une mission parlementaire pour évaluer la portée réelle d’une pression idéologique déjà identifiée par les pouvoirs publics.
Juste avant l’hommage de l’Assemblée nationale mardi après-midi, le président des Républicains a réuni parlementaires et élus de droite autour d’une grande photographie en noir et blanc du député d’Eure-et-Loir.
CHRONIQUE - Les Français sont à la recherche de projets politiques clairs et lisibles. Aucun candidat, aucun parti ne pourra échapper à cette exigence de transparence idéologique et programmatique.
CHRONIQUE - Le président des Républicains est le seul à pouvoir rassembler les trois courants de la droite qui n’ont plus qu’un lointain rapport avec ceux que décrivait René Rémond. Toutefois, son parti n’a aucune chance d’accéder à l’Élysée sans une alliance.
ENTRETIEN - Le secrétaire général des Républicains répond aux attaques de l’ex-premier ministre, tout en pointant de profondes divergences au sein du « socle commun ». Elles devront être tranchées par le suffrage universel, « le moment venu ».