Bertille Bayart : «De Belfort en 2022 au sommet de l’IA en 2025, les trop grandes promesses de Macron»
CHRONIQUE - Le chef de l’État excelle à traverser des perspectives, mais pèche par la mise en œuvre. Exemple avec la politique énergétique.
CHRONIQUE - Le chef de l’État excelle à traverser des perspectives, mais pèche par la mise en œuvre. Exemple avec la politique énergétique.
REPORTAGE – Les allées étaient bondées ce mardi, à Station F, en marge du «business day» lié au sommet sur l’IA. L’occasion pour les entrepreneurs de partager leurs solutions et pour la France d’afficher sa détermination dans sa course à l’IA.
CONTRE-POINT - Faire la loi revenant aux élus du peuple, il serait choquant qu’un collège de juristes se comporte en Cour suprême. Mais, inversement, les politiques nommés ne doivent pas oublier de juger en droit et pas au nom de leurs opinions politiques.
Eux aussi appelés à procéder à des nominations, les présidents du Sénat et de l’Assemblée, Gérard Larcher et Yaël Braun-Pivet, songent à Philippe Bas et Laurence Vichnievsky. Autant de candidatures qui seront soumises au Parlement le 19 février prochain.
Le président Emmanuel Macron a détaillé les projets négociés en marge du Sommet. Il s’agit en grande partie de constructions de data centers, un peu partout dans le pays.
Alors qu’Emmanuel Macron réfléchit à consulter cette année les Français, les responsables politiques multiplient les propositions référendaires.
DÉCRYPTAGE - Le chef de l’État préside lundi et mardi un sommet sur l’IA qui mêle enjeux technologiques, économiques et diplomatiques. Et lui permet de remettre en scène son identité politique.
CONTRE-POINT - Le sommet de l’IA tombe à point nommé pour Emmanuel Macron. La dissolution ratée l’a humilié et réduit à l’impuissance. Avec ce défi d’avenir, il retrouve une utilité.
Invité dimanche du « Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat », le ministre de l’Économie et des Finances a jugé que la France a « des résultats qui sont tout à fait au niveau » de ses concurrents étrangers.
CHRONIQUE - Lorsque l’on importe plus qu’on exporte, cela se fait aux dépens du «made in France», de nos usines et de nos travailleurs, d’où la désindustrialisation et le chômage de masse.