Pour le maître du Kremlin, la normalisation des relations avec Washington, une coopération économique accrue et la relégation de l’Ukraine au rang de question subsidiaire semblent à portée de main.
Donald Trump, confronté, à 10.000 km de là, à un autre dirigeant désireux de faire entériner ses annexions, aurait donné son blanc-seing à Benyamin Netanyahou.
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Ils sont 78 millions, soit près d'un électeur inscrit sur trois, à avoir déjà glissé un bulletin dans l’urne avant le jour du scrutin. Jean-Éric Branaa, spécialiste des États-Unis, analyse les conséquences de ce vote anticipé.
Pendant que les États-Unis punissent et humilient à coups de droits de douane les trois quarts de la planète, Pékin resserre ses liens avec ses voisins asiatiques, avec l’Afrique et avec l’Amérique du Sud.
Le moment d’abattre ses cartes approche pour le président américain. La première puissance mondiale n’en manque pas, pour peu qu’elle veuille les utiliser.
Jamais l’État hébreu, dans sa légitime défense après une agression sans précédent, n’aurait dû s’abaisser à ce point d’inhumanité qui permet à son ennemi de se prétendre au même niveau.
Trois mois après, le pape trace son chemin. Pas de déclarations fracassantes, pas de décisions intempestives, le nouveau souverain pontife installe son style sans bruit.
À l’heure où les socialistes se perdent dans de honteuses compromissions avec La France insoumise, l’urgence de préserver « le droit à la vie tranquille » des « honnêtes gens » s’impose à tous.
Trump, ses supporteurs et même ses adversaires n’en reviennent pas d’avoir obtenu si facilement la reddition totale de la première puissance économique mondiale.