TRIBUNE - Dans un texte de haute tenue, l’ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République répond à Jean-Luc Mélenchon qui, lors d’un colloque organisé à l’Assemblée nationale, a déclaré vouloir rebaptiser la « langue française » en langue « créole ». Selon lui, derrière la provocation, il faut prendre au sérieux le chef des Insoumis.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Les violences urbaines qui ont émaillé Limoges, Nîmes ou encore Compiègne ces derniers jours doivent nous alerter sur la montée de l’insécurité, explique Céline Cléber, auteur de Douce France. Ce combat doit engager toutes nos institutions, ajoute-t-elle.
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Dans son dernier essai, le journaliste et écrivain François Bousquet s’est penché sur un tabou : le racisme antiblanc. Selon lui, si la majorité des chercheurs et des sociologues estiment que ce phénomène n’existe pas, c’est parce qu’ils refusent de s’y intéresser.
Avec l’annonce de nouveaux droits de douane américains, les vieux pays d’un vieux continent doivent réapprendre les règles de la puissance pour résister aux États-Unis et à la Chine.
L’expérience du « en même temps », du « et de droite et de gauche » a montré les limites de ce qui se voulait être une théorie du dépassement. À force de chercher son centre de gravité, celle-ci n’a rien résolu ou n’a fait les choses qu’à moitié.
Il est urgent d’agir. De mettre fin à une dérive particulièrement onéreuse. L’absentéisme coûte, globalement, entre 60 et 80 milliards d’euros par an, soit l’équivalent du budget de l’Éducation nationale.
La survie de l’Ukraine se joue à pile ou face, selon les humeurs de Donald Trump. Lui qui avait promis d’imposer la paix en 24 heures est de plus en plus frustré par Vladimir Poutine.
La libre circulation des personnes et des biens était une belle idée. Mais face aux dérives de l’Europe de Schengen, nombreux sont les pays à réinstaurer les contrôles aux frontières au sein de l’UE.
«Les Français ne travaillent pas assez», a dit fort justement François Bayrou lors de son discours. Il aurait pu ajouter : «Ils devraient vivre mieux de leur travail».
Si le projet du premier ministre est nécessaire pour éviter une catastrophe financière, il n’est pas suffisant. L’état des finances publiques impose d’autres mesures, plus ambitieuses, pour remettre la France sur les rails.