FIGAROVOX/TRIBUNE - Ce 7 juillet, le ministre chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Philippe Baptiste, a déclenché une polémique en déclarant que la notion d’islamo-gauchisme ne reposait sur «aucune réalité universitaire». Le directeur du CERU, Olivier Vial, lui répond.
Les observateurs les plus avisés considèrent, à juste titre, qu’il ne peut plus rien sortir de bon de cette Assemblée. Le problème est qu’en élire une autre pourrait aboutir au même résultat.
LETTRES PERSONNES - Chaque semaine, Frédéric Picard nous livre le regard décalé d’une intelligence artificielle sur les absurdités et les paradoxes de notre société. Aujourd’hui, elle raconte à un ami chatbot comment l’écologie, devenue mot inflammable, met le feu au débat public.
L’empilement d’impôts, de taxes et de prélèvements, dans un pays déjà champion du monde de la ponction, ne suffira pas à combler nos déficits ni à enrayer l’explosion de la dette.
Après avoir célébré le télétravail comme une révolution nécessaire et inéluctable, voilà que de nombreuses entreprises prônent avec le même aplomb un retour au bureau.
Le ministre de l’intérieur a brisé un tabou. Déstabilisés par la tornade de l’écologisme, nos dirigeants ont abandonné l’industrie nucléaire au profit de monstres bruyants qui saccagent nos paysages.
Les Français ne souhaitent pas, en ce début d’été, une nouvelle crise gouvernementale. Une censure de François Bayrou serait vaine, stérile, probablement coûteuse en temps et en argent.
À l’heure du macronisme finissant, d’une gauche soumise aux Insoumis et des incertitudes du camp nationaliste, un alignement des planètes existe pour Bruno Retailleau.