L’éditorial de Jacques-Olivier Martin : «Taillons, élaguons, tronçonnons dans la dépense publique»
S’attaquer aux opérateurs et aux comités Théodule, c’est passer d’une logique de dépense automatique à une exigence de sérieux budgétaire.
S’attaquer aux opérateurs et aux comités Théodule, c’est passer d’une logique de dépense automatique à une exigence de sérieux budgétaire.
Yaël Braun-Pivet, la présidente de l’Assemblée nationale, envisage des hausses ciblées d’impôts, pour boucler le budget 2026.
Après la confirmation de la condamnation de l’écrivain, les regards se tournent maintenant vers le président Tebboune.
Les Français ne souhaitent pas, en ce début d’été, une nouvelle crise gouvernementale. Une censure de François Bayrou serait vaine, stérile, probablement coûteuse en temps et en argent.
Les enquêtes montrent combien le désir d’enfant persiste chez les jeunes. Mais passer de l’intention à la réalisation, voilà le pas qui leur semble, aujourd’hui plus qu’hier, si ardu à franchir.
Pendant qu’on nous tympanise sur une supposée reprise en main des comptes, avec, paraît-il, des trains d’économies jamais observés, notre endettement se creuse à vue d’œil. Quarante milliards en trois mois, qui dit mieux ?
S’ils refusent de célébrer certains mariages, les élus s’exposent à une lourde peine de prison et à une forte amende.
Cette négociation de paix annoncée par le président américain ressemble un peu à un tour de magie.
L'échec de la négociation sur les retraites risque de provoquer l'agitation parlementaire des socialistes mais c'est dans les questions énergétiques que réside le danger politique.
Le président américain espère que sa démonstration de force suffira et qu’il ne sera pas entraîné dans un de ces longs conflits asymétriques où ses prédécesseurs ont tant perdu.