L’éditorial de Philippe Gélie: «Israël-Iran, guerre et paix selon Donald Trump»
Cette négociation de paix annoncée par le président américain ressemble un peu à un tour de magie.
Cette négociation de paix annoncée par le président américain ressemble un peu à un tour de magie.
L'échec de la négociation sur les retraites risque de provoquer l'agitation parlementaire des socialistes mais c'est dans les questions énergétiques que réside le danger politique.
Le président américain espère que sa démonstration de force suffira et qu’il ne sera pas entraîné dans un de ces longs conflits asymétriques où ses prédécesseurs ont tant perdu.
Le souvenir des mésaventures américaines en Afghanistan et en Irak a vacciné la base des électeurs trumpistes contre toute intervention extérieure.
À court terme, le cavalier seul de Benyamin Netanyahou paraît gagnant. Mais on n’a pas entendu le premier ministre israélien décrire les conditions d’une sortie de crise.
Selon un scénario écrit d’avance, pour éviter la censure lors du vote de la prochaine loi de finances, il faudra bien, comme l’an dernier, monnayer la collaboration des socialistes.
L’improbable feuilleton du conclave sur les retraites touche à sa fin. Bonne nouvelle, il a de fortes chances de se terminer en queue de poisson.
Ni les portiques de sécurité ni les consultations de santé mentale ne suffiront à endiguer l’effroyable dérive des armes, de la violence, de la drogue, de la pornographie, qui ont colonisé l’espace et l’esprit de nos enfants et de nos adolescents.
Le terrorisme idéologique exercé par les islamistes ne trouve pas seulement ses soutiens les plus ardents parmi les élus islamo-gauchistes. Il a aussi de solides relais dans d’autres sphères, pourtant réputées sérieuses, au CNRS comme au Quai d’Orsay.
Le président est indéniablement plus faible qu’il ne l’était il y a un an ; le gouvernement, de plus en plus liquide, attend d’être aspiré par le siphon de la censure ; son ministre le plus populaire - Bruno Retailleau - cherche déjà comment s’échapper.