TRIBUNE - Le président des LR, Bruno Retailleau, le vice-président délégué, François-Xavier Bellamy, et le vice-président du parti, Julien Aubert, plaident pour un renforcement du parc nucléaire actuel et l’arrêt des subventions publiques allouées à l’éolien et au photovoltaïque.
Après avoir célébré le télétravail comme une révolution nécessaire et inéluctable, voilà que de nombreuses entreprises prônent avec le même aplomb un retour au bureau.
Le ministre de l’intérieur a brisé un tabou. Déstabilisés par la tornade de l’écologisme, nos dirigeants ont abandonné l’industrie nucléaire au profit de monstres bruyants qui saccagent nos paysages.
Les Français ne souhaitent pas, en ce début d’été, une nouvelle crise gouvernementale. Une censure de François Bayrou serait vaine, stérile, probablement coûteuse en temps et en argent.
À l’heure du macronisme finissant, d’une gauche soumise aux Insoumis et des incertitudes du camp nationaliste, un alignement des planètes existe pour Bruno Retailleau.
Les enquêtes montrent combien le désir d’enfant persiste chez les jeunes. Mais passer de l’intention à la réalisation, voilà le pas qui leur semble, aujourd’hui plus qu’hier, si ardu à franchir.
Pendant qu’on nous tympanise sur une supposée reprise en main des comptes, avec, paraît-il, des trains d’économies jamais observés, notre endettement se creuse à vue d’œil. Quarante milliards en trois mois, qui dit mieux ?