TRIBUNE - Les Meusiens assistent désemparés à la défiguration de leurs paysages par les éoliennes. Le malaise que cause leur vue ne tient pas seulement à leur apparence esthétique, mais à l’impact de leur gigantisme sur des paysages façonnés siècle après siècle, déplore l’écrivain.
CHRONIQUE - Chaque semaine, notre chroniqueur pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il imagine le discours de la députée EELV sur la vague de chaleur entre fiches gouvernementales et combat contre la clim écocidaire.
ENTRETIEN - Le ministre de l’Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, a contesté sur LCP l’existence d’un quelconque « islamo-gauchisme » au sein de l’université française, arguant que le terme n’existait pas « en tant que terme universitaire ». Pour le philosophe Pierre-Henri Tavoillot*, cette affirmation est doublement erronée.
Après avoir célébré le télétravail comme une révolution nécessaire et inéluctable, voilà que de nombreuses entreprises prônent avec le même aplomb un retour au bureau.
Le ministre de l’intérieur a brisé un tabou. Déstabilisés par la tornade de l’écologisme, nos dirigeants ont abandonné l’industrie nucléaire au profit de monstres bruyants qui saccagent nos paysages.
Les Français ne souhaitent pas, en ce début d’été, une nouvelle crise gouvernementale. Une censure de François Bayrou serait vaine, stérile, probablement coûteuse en temps et en argent.
À l’heure du macronisme finissant, d’une gauche soumise aux Insoumis et des incertitudes du camp nationaliste, un alignement des planètes existe pour Bruno Retailleau.
Les enquêtes montrent combien le désir d’enfant persiste chez les jeunes. Mais passer de l’intention à la réalisation, voilà le pas qui leur semble, aujourd’hui plus qu’hier, si ardu à franchir.
Pendant qu’on nous tympanise sur une supposée reprise en main des comptes, avec, paraît-il, des trains d’économies jamais observés, notre endettement se creuse à vue d’œil. Quarante milliards en trois mois, qui dit mieux ?