CHRONIQUE - L’Église est au bord de la rupture et de l’éclatement, polarisée entre conservateurs et progressistes, spirituels et identitaires, Nord et Sud. Le chantier qui se présente devant le successeur du pape François est immense.
Le choix offert par le président américain à son homologue ukrainien se résume à deux formes de reddition : la paix à ses conditions, qui sont celles du Kremlin, ou « la perte de son pays » d’ici trois ans.
FIGAROVOX/ENTRETIEN - L’annonce par le milliardaire de son retrait des affaires publiques révèle son attachement à Tesla et sa difficulté à se conformer au monde politique, avec lequel il pourrait néanmoins renouer à l’avenir, estime l’essayiste Olivier Piton, fin connaisseur des États-Unis.
Dans une atmosphère mêlant les procédures et le sacré, une centaine d’hommes se préparent au grand choix et tiennent dans leurs mains le prochain visage de l’Église catholique.
Le ralentissement économique, la pression des marchés, et la détermination de la Chine poussent la Maison-Blanche à la désescalade sur le front commercial.
Le souverain pontife restera comme un pape humain, défenseur sans frontières des pauvres et des exclus, mais souvent dépassé par les complexités du monde.
Un proche, une collègue, un prêtre leur a montré, par le simple ministère de l’amitié, le visage d’une foi vivante. Ils seront 17.000, samedi, au cours de la veillée pascale, à entrer pleinement dans l’Église catholique.
Face au régime de Tebboune, le chef de l’État est obligé d’assumer une réduction des visas, avant, peut-être, une dénonciation des accords avec l’Algérie.
Il fallait être bien naïf pour se dire « confiant », comme Emmanuel Macron, dans la libération de Boualem Sansal. Quant aux amabilités faites à Jean-Noël Barrot, récemment à Alger, elles avaient tout de l’hypocrisie diplomatique.