FIGAROVOX/TRIBUNE - L’ancien premier ministre conteste l’idée selon laquelle la situation des comptes publics français résulterait d’une longue dérive à laquelle tous les gouvernements auraient participé. Il défend son bilan et rappelle comment il a relancé la croissance nationale.
CHRONIQUE - La proposition de Laurent Wauquiez, cette semaine, de déplacer les OQTF dangereux à Saint-Pierre-et-Miquelon montre que le sujet de la maîtrise des flux migratoires est toujours au centre des débats.
TRIBUNE - Il y a quelques jours, le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot avait déclaré, à tort, qu’il fallait « tourner la page » de la crise franco-algérienne. Après l’expulsion de 12 agents de l’ambassade de France à Alger, dernier incident diplomatique en date, il est grand temps que Paris réagisse, insiste l’ancien ambassadeur*.
Il fallait être bien naïf pour se dire « confiant », comme Emmanuel Macron, dans la libération de Boualem Sansal. Quant aux amabilités faites à Jean-Noël Barrot, récemment à Alger, elles avaient tout de l’hypocrisie diplomatique.
Trump, Johnson, Meloni, Milei... Tous ces leaders ont en commun la conviction farouche qu’ils font le bien de leur peuple, et ne se préoccupent de rien d’autre.
Personne n’est aujourd’hui en mesure de prédire quand et comment s’arrêtera ce grand chambardement, ni quels en seront les dégâts. La France, victime comme le reste du monde des lubies trumpiennes, prend la tempête de plein fouet.
Alors que la panique gagne les marchés, le patron de Tesla a plaidé pour un accord de libre-échange total avec l’Europe. Bruxelles défend la même stratégie.
Le projet de loi sur l’«aide à mourir», présenté mardi à l’Assemblée, propose l’une des législations les plus permissives et les plus expéditives au monde, ouvrant l’euthanasie aux malades incurables, mais pas nécessairement en fin de vie.