ANALYSE - En cherchant à imposer ses règles au reste du monde, Donald Trump s’inscrit dans les pas de ses prédécesseurs à la Maison-Blanche. Mais il se distingue par son protectionnisme.
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Depuis que Donald Trump a abaissé les taxes pour l’essentiel de ses partenaires commerciaux à l’exception de la Chine, Pékin et Washington ont engagé un bras de fer qui pourrait être lourd de conséquences, analyse l’historien François Godement.
Trump, Johnson, Meloni, Milei... Tous ces leaders ont en commun la conviction farouche qu’ils font le bien de leur peuple, et ne se préoccupent de rien d’autre.
Personne n’est aujourd’hui en mesure de prédire quand et comment s’arrêtera ce grand chambardement, ni quels en seront les dégâts. La France, victime comme le reste du monde des lubies trumpiennes, prend la tempête de plein fouet.
Alors que la panique gagne les marchés, le patron de Tesla a plaidé pour un accord de libre-échange total avec l’Europe. Bruxelles défend la même stratégie.
Le projet de loi sur l’«aide à mourir», présenté mardi à l’Assemblée, propose l’une des législations les plus permissives et les plus expéditives au monde, ouvrant l’euthanasie aux malades incurables, mais pas nécessairement en fin de vie.
Dans l’hypothèse d’une décapitation électorale à l’issue du procès des assistants parlementaires européens du Front national, le climat politique serait à la tempête d’ici à 2027.