TRIBUNE - À court terme, la stratégie de Trump porte préjudice aux marchés financiers, mais elle se veut cohérente à long terme dans sa défense de la classe moyenne américaine, analyse la philosophe, qui vit aux États-Unis.
CHRONIQUE - Dans Une famille américaine, paru en 2016 aux États-Unis et republié en français, le vice-président américain raconte son enfance pauvre dans une région désindustrialisée et la misère matérielle et spirituelle de la classe ouvrière blanche. Un vibrant plaidoyer pour la responsabilité individuelle.
CHRONIQUE - Chaque semaine, pour Le Figaro, notre chroniqueur pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il imagine les explications que Donald Trump aurait pu donner pour justifier l’imposition de nouveaux droits de douane.
Personne n’est aujourd’hui en mesure de prédire quand et comment s’arrêtera ce grand chambardement, ni quels en seront les dégâts. La France, victime comme le reste du monde des lubies trumpiennes, prend la tempête de plein fouet.
Alors que la panique gagne les marchés, le patron de Tesla a plaidé pour un accord de libre-échange total avec l’Europe. Bruxelles défend la même stratégie.
Le projet de loi sur l’«aide à mourir», présenté mardi à l’Assemblée, propose l’une des législations les plus permissives et les plus expéditives au monde, ouvrant l’euthanasie aux malades incurables, mais pas nécessairement en fin de vie.
Dans l’hypothèse d’une décapitation électorale à l’issue du procès des assistants parlementaires européens du Front national, le climat politique serait à la tempête d’ici à 2027.
L’ÉDITORIAL DU FIGARO HISTOIRE - Avec Byzance disparaissait le dernier héritier direct et légitime de l’Empire romain. L’événement ne fut pas complètement étranger, peut-être, à l’accélération du processus qui vit naître l’État moderne.
Tandis que Donald Trump menace de «prendre possession» du Groenland, Russes et Américains s’observent au-dessus du cercle polaire, chacun prêt à miser gros sur l’Arctique.
Sous la pression des lobbies écologistes, à Paris et à Bruxelles, nous avons déjà fait une première fois, sous François Hollande, le choix insensé de sacrifier l’atome français. Allons-nous commettre la même faute ?