Sous la pression des lobbies écologistes, à Paris et à Bruxelles, nous avons déjà fait une première fois, sous François Hollande, le choix insensé de sacrifier l’atome français. Allons-nous commettre la même faute ?
Aux promesses paradisiaques, la drogue répond par des agressions gratuites, des crackeux zombifiés, des rafales de kalachnikov et des gamins ensanglantés.
Les projets ou propositions de loi sont vidés de leur substance ou reportés à des jours meilleurs. La France poursuit son bonhomme de chemin somnambulique vers nulle part, sans cap ni boussole.
Il reste 59 otages à Gaza, dont 24 présumés vivants. Mardi, l’ordre de Benyamin Netanyahou de reprendre les combats dans l’enclave palestinienne a jeté une ombre sur leur sort, car ils sont les dernières cartes du Hamas.
Avec la guerre commerciale imposée par le dirigeant américain, l’intérêt de l’Europe devrait être de préparer la suite.
Depuis le retour à la Maison-Blanche le 20 janvier du président républicain, le train fou de la nouvelle politique américaine est lancé à pleine vitesse, sans que l’on puisse dire ce qui, dans tout cela, est sous contrôle.
Bruno Retailleau a su s’imposer comme l’homme de l’ordre au sommet de l’État. Son départ serait fatal à un gouvernement déjà fragile.
Peu d’événements dans l’histoire comportent autant de puissance dramatique et d’absurdité en même temps.
Le président russe détient le verrou de la paix. Une connivence avec Donald Trump pourrait lui permettre d’atteindre ses objectifs à bien moindre coût que n’importe quelle guerre.
La drôle de négociation de paix qui s’est engagée entre l’Ukraine et la Russie ressemble à une distribution de bons points et de blâmes par un maître d’école impatient installé à Washington.