RÉCIT - L’Élysée jurait encore vendredi que la venue d’Emmanuel Macron aux funérailles du pape ne serait pas un événement diplomatique, mais un simple moment de recueillement. C’est l’inverse exact qui s’est produit.
Après la messe des funérailles sur la place Saint-Pierre, la dépouille du pape François a été transportée en papamobile à travers les rues de Rome en direction de la basilique Sainte-Marie-Majeure.
PORTRAIT - Doyen du collège des cardinaux, l’Italien de 91 ans a dirigé les obsèques du pape ce samedi 26 avril et jouera un rôle majeur dans la succession de François. Évoluant dans les hautes sphères du Vatican depuis près de 60 ans, il a déjà présidé les conclaves de 2005 et 2013.
DOCUMENT - Le Figaro publie l’intégralité de l’homélie prononcée par le cardinal Giovanni Battista Re sur la place Saint-Pierre, pour les funérailles du pape François.
DÉCRYPTAGE - La Ville éternelle a déployé un dispositif sans précédent pour sécuriser les funérailles du Saint-Père, pour lesquelles sont attendus 130 délégations et 50 chefs d’État.
CHRONIQUE - Le pontificat de François a représenté le point d’aboutissement de la dissociation entre l’Europe et un catholicisme poursuivant son expansion ailleurs dans le monde, comme si la religion chrétienne s’était affranchie de ses ancrages historiques pour s’universaliser vraiment.
Une veillée de prière, présidée par le cardinal François-Xavier Bustillo, archevêque d’Ajaccio, s’est déroulée jeudi soir à Rome, en l’église française de la Trinité des Monts.
RÉCIT - Devant un parterre de quelque 50 chefs d’État et 130 délégations, la cérémonie d’obsèques, qui suit la liturgie de toute messe de funérailles, devrait durer quatre heures.
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