EXCLUSIF - Le chef de l’État a précisé ses axes d’action au Figaro. Concernant la dissuasion nucléaire, il a affirmé, dans son allocution ce mercredi, que «la décision a toujours été et restera entre les mains du président de la République».
Dans une interview accordée au magazine Valeurs actuelles, l’ancien premier ministre juge que le président ukrainien «refuse aujourd’hui d’arrêter une guerre qu’il ne peut pas gagner».
Battus aux législatives, d’anciens députés sont devenus ministres, dirigeants d’instances ou conseillers ministériels. Un mouvement minoritaire mais spectaculaire, sur fond d’instabilité gouvernementale.
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Mercredi soir, le chef de l’État a déclaré que «notre génération ne touchera plus les dividendes de la paix». Une formule forgée par Laurent Fabius à la fin de la guerre froide, alors que Francis Fukuyama prédisait «la fin de l’histoire» dans son fameux essai.
CONTRE-POINT - Emmanuel Macron a renoué le lien avec les Français et cette intervention sera suivie d’autres. La dramatisation internationale le remet en tout cas au centre du jeu national
Il était fondamental, lors de sa prise de parole, mercredi soir, que le président de la République éloigne l’idée d’une mutualisation européenne des décisions militaires. Sans empêcher les alliances et les coalitions, le choix des armes ne peut être que souverain.
CHRONIQUE - L’historien Yves Santamaria médite sur l’impossible maintien de pieds-noirs en Algérie. La métropole ne le voulait pas, mais les Algériens non plus. Le multiculturalisme, c’est toujours pour les autres.
LA BATAILLE DES IDÉES - Sur la question de l’Algérie, Emmanuel Macron a désavoué François Bayrou et Bruno Retailleau. Le chef de l’État renoue ainsi avec une ligne qui jalonne sa mandature.
RÉCIT - Si le gouvernement a pour l’instant fermé la porte à l’utilisation des actifs gelés, le débat est ouvert dans le camp présidentiel. «La faisabilité est en train d’être étudiée», indique une source gouvernementale.