INFO LE FIGARO - Malgré l’accalmie diplomatique affichée entre Paris et Alger, le régime d’Abdelmadjid Tebboune a encore refusé au moins quatre ressortissants ces derniers jours, prétextant un manque de laissez-passer consulaire.
DÉCRYPTAGE - Cette pétition citoyenne s’oppose à la loi prévoyant la réintroduction de l’acétamipride, un pesticide de la famille des néonicotinoïdes. Elle a atteint le niveau record de plus d’un million de signatures dimanche peu avant 18 heures.
La jeune Française de 23 ans ne souhaite pas répondre aux sollicitations médiatiques, estimant que «les voix qui s’élèvent partout dans le pays» contre la réintroduction sous condition d’un pesticide la représentent «déjà très bien».
Les récentes tensions entre le ministre de l’Intérieur et le chef de l’État semblent cimenter la droite LR derrière le patron du parti et son positionnement non aligné.
CHRONIQUE - Le macronisme, dont Bruno Retailleau a prédit la fin une fois qu’Emmanuel Macron ne sera plus président de la République, a d’abord été le réflexe de survie d’un régime en panne, avant de se muer en uneforme de centrisme autoritaire.
En visite au commissariat du XXe arrondissement, le ministre de l’intérieur a annoncé jeudi une batterie de mesures pour lutter contre l’arme de «prédilection des barbares».
L’expérience du « en même temps », du « et de droite et de gauche » a montré les limites de ce qui se voulait être une théorie du dépassement. À force de chercher son centre de gravité, celle-ci n’a rien résolu ou n’a fait les choses qu’à moitié.
La porte-parole du gouvernement a apporté son soutien à la candidature de Rachida Dati à la mairie de Paris, en vue des élections municipales de 2026. Le signe d’une solidarité des ministres LR, pour leur collègue du gouvernement.
Pour Les Républicains, l’échéance électorale de mars 2026 doit imposer un front républicain pour faire barrage à la gauche mélenchonisée. En espérant créer une «vague bleue» à un an de l’élection présidentielle.
ANALYSE - Alors que la méthode Beauvau et celle du Quai d’Orsay se percutent, Emmanuel Macron a convié le ministre de l’Intérieur jeudi pour aborder le «dossier algérien».
EXCLUSIF - Numéro cinq du gouvernement et patron des Républicains, le ministre de l’Intérieur prévient qu’il ne compte s’interdire aucun sujet jusqu’à la présidentielle.