James Howell a poursuivi en justice la municipalité de Newport pour tenter de retourner dans la décharge et chercher son précieux disque dur. Une autorisation refusée par un juge gallois. Plus de 750 millions d’euros sont en jeu.
DÉCRYPTAGE - A la veille de l’entrée en vigueur de son interdiction aux États-Unis, le réseau social chinois est allé bien plus loin que ce que prévoit la loi, pour créer un électrochoc dans l’opinion publique et accroître la pression sur Donald Trump.
La présidente de la région Île-de-France Valérie Pécresse s’était dite lundi «scandalisée» par ce Waze des transports en commun, qui porte le nom du signal d’alarme des dealers et «vient faciliter la fraude».
RÉCIT - Créé par le chef d’État peu après son bannissement de Facebook et Twitter en 2021, ce réseau social jusque-là confidentiel pourrait connaître un formidable essor sous le second mandat du président américain.
Les patrons de la Tech, naguère en froid avec le républicain, font amende honorable. Le comité d’organisation des cérémonies d’investiture a levé quelque 200 millions de dollars, record absolu.
RÉCIT - La Silicon Valley s’est développée en sacralisant le « free speech » et en refusant toute forme de contrainte étatique. Elle trouve aujourd’hui en Donald Trump un allié de circonstance.
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Dans un entretien accordé au podcasteur trumpiste Joe Rogan, Mark Zuckerberg a déclaré mettre fin aux politiques de diversité en vigueur dans son groupe. Un changement d’ère naturel dû à la polarisation induite par le wokisme aux États-Unis, analyse l’essayiste Sami Biasoni.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Les prises de position favorables à Donald Trump des géants du numérique résultent moins d’un alignement idéologique profond que d’un ajustement conjoncturel à la nouvelle administration du pays, pour mieux servir les intérêts de leurs entreprises, explique Carole Bienaimé Besse, ex-membre de l’Arcom.
CHRONIQUE - Chaque semaine, pour LeFigaro, notre chroniqueur pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il imagine la lettre d’un fact-checker en colère après l’annonce de Mark Zuckerberg, qui souhaite renoncer à la vérification de l’information sur ses réseaux sociaux.
Si seuls les États-Unis sont aujourd’hui concernés, l’inquiétude gagne les partenaires européens de Meta. L’AFP, son principal prestataire, va rencontrer le géant des réseaux sociaux dans les prochains jours.
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Au lendemain des annonces aux accents libertariens du président de Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp), son biographe Julien Le Bot éclaire les enjeux de ce subtil ralliement au président réélu.
DÉCRYPTAGE - Mark Zuckerberg parie sur ce système de modération collaboratif, inspiré de celui existant chez son concurrent X. Reposant sur le consensus, il comporte aussi des risques de biais.