Invité de la matinale CNews/Europe 1, le ministre de l’Intérieur a indiqué que 4000 membres des forces de l’ordre seront mobilisées ce mercredi et jeudi lors d’opérations de contrôles contre l’immigration illégale.
La cour d’appel de Paris a infligé à l’ancien premier ministre une peine de quatre ans d’emprisonnement avec sursis dans l’affaire des emplois fictifs de son épouse.
Alors qu’Emmanuel Macron a reporté sine die la conférence, censée relancer cette semaine à New York la solution à deux États au Proche-Orient, une très large majorité de Français rejette toute initiative diplomatique hâtive.
RÉCIT - La pression des socialistes s’accroît sur le premier ministre, qui devra attendre pour voir se concrétiser un éventuel compromis entre les partenaires sociaux sur les retraites.
ENTRETIEN - Pour le spécialiste de l’université Panthéon-Assas, l’utilisation de la motion de rejet par les soutiens d’un texte met en évidence la faiblesse de l’Assemblée nationale et les répercussions institutionnelles d’une impasse politique.
Au terme d’un bras de fer entre l’Élysée et Matignon, Augustin Augier, quadragénaire issu des Écologistes et fils d’une ex-figure du MoDem, Marielle de Sarnez, a été nommé jeudi secrétaire général à la planification écologique.
DÉCRYPTAGE - Le premier ministre espère proposer au Parlement un accord entre partenaires sociaux, qui reste à trouver d’ici mardi. Ses oppositions et les syndicats plaident toujours pour baisser l’âge légal de départ.
Contre le décrochage observé dans les classements internationaux, le parlementaire des Pyrénées-Atlantiques défend le retour aux fondamentaux et le lancement d’expérimentations à l’échelle du terrain. Deux bases d’un renouveau pédagogique qu’il juge urgent.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Tandis que les potentiels candidats du bloc central émergent en amont de 2027, le consultant Michaël Sadoun évoque les débats liés à la pérennité du macronisme. Selon lui, sa seule originalité est d’avoir permis au centre de ne plus préciser son caractère droitier ou gaucher.
RÉCIT - Soutenu sur cette réforme par les oppositions, le premier ministre voit ses alliés, à commencer par Bruno Retailleau, blâmer son vieux projet de changer le mode d’élection des députés, au nom de la stabilité.
DÉCRYPTAGE - Le premier ministre, qui doit révéler ses orientations début juillet sur fond de menaces de censure, promet auprès du « Figaro » de « s’attaquer à la dépense » publique et défend toujours l’idée d’un référendum.