EN IMAGES - De son élection en 2013 à son décès, ce lundi 21 avril, retour en photos sur les douze années d’un riche pontificat.
ANALYSE - Premier pape du «Sud global», François a délaissé l’Europe et l’Occident au risque de paraître trop proche de régimes autoritaires.
DÉCRYPTAGE - Les engagements du souverain pontife n’ont pas laissé indifférents les élus et furent parfois instrumentalisés.
FIGAROVOX/ENTRETIEN - Des obsèques de François à la désignation de son successeur, la vacance du Siège apostolique pourrait s’étirer tant les cardinaux électeurs sont nombreux, explique le journaliste Frédéric Mounier, qui avait couvert le conclave de 2013 pour La Croix.
Le souverain pontife restera comme un pape humain, défenseur sans frontières des pauvres et des exclus, mais souvent dépassé par les complexités du monde.
Alors que le décès du souverain pontife ouvre la voie au conclave pour élire son successeur, une étonnante prédiction établie par saint Malachie, un évêque irlandais du XIIe siècle, prophétise le retour de l’apôtre Pierre.
ENTRETIEN - Historienne de l’Église et ancienne collaboratrice du pape François, cette éditorialiste italienne pose un regard très critique sur le mode de gouvernance du défunt pontife, qu’elle qualifie de «très autoritaire».
Chef d’État et chef religieux, le souverain pontife dispose d’attributs spécifiques. Parmi eux, l’anneau piscatorial : cette bague identifie le pape comme successeur de l’apôtre Pierre.
REPORTAGE - Une foule de fidèles a assisté, lundi soir, à une messe pour Jorge Bergoglio dans la basilique San José de Flores, où a grandi la foi du Saint-Père défunt.
Le successeur du pape François, mort à 88 ans, doit être nommé dans les prochaines semaines. Le Figaro fait le point sur les mots-clés nécessaires pour comprendre cette élection décisive pour le monde catholique.