FIGAROVOX/TRIBUNE - Le rassemblement par Emmanuel Macron des différents partis politiques de l’«arc républicain» en vue de la constitution du nouveau gouvernement pourrait bien échouer à accoucher d’un budget, analyse l’ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Au micro de Jean-Jacques Bourdin, le 10 décembre, la députée Sandrine Rousseau a dénoncé l’emprisonnement de l’écrivain, mais elle a ajouté que ses propos relèvent «d’une forme de suprémacisme». La journaliste, membre du comité de soutien de Sansal, dénonce une posture morale qui n’a d’autre effet que de conforter le pouvoir algérien.
ENTRETIEN - Le philosophe* voit dans la nomination de François Bayrou à Matignon le retour de la stratégie de l’« extrême centre », un concept qu’il a théorisé dans son premier livre, en 1980. Selon lui, cette idéologie cherche à monopoliser le pouvoir au détriment du jeu normal de la démocratie.
CONTRE-POINT - Avoir rêvé il y a trente ans de rassembler « de Barre à Delors » n’apporte pas la garantie de savoir aujourd’hui constituer une équipe capable de gouverner.
CHRONIQUE - Chaque semaine, pour Le Figaro, notre chroniqueur pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il imagine la semaine qui a précédé la nomination de François Bayrou à Matignon, entre chantages et calculs politiques.
RÉCIT - Invité ce dimanche du « Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat », le vice-président du Rassemblement national juge que le nouvel hôte de Matignon « est quelqu’un d’un peu à part dans le spectre politique ».
CHRONIQUE - Il est urgent de réformer la sphère publique pour redresser les finances du pays. Moody’s devrait aider le premier ministre à convaincre les parlementaires de cette nécessité.
DÉCRYPTAGE - Que Moody’s abaisse la note de la France n’est pas surprenant en soi, étant donné l’explosion de la dette. Mais le calendrier choisi par l’agence de notation est loin d’être anodin.
Dans Soumission, le romancier imaginait que «ce vieux politicien béarnais» était désigné par un président islamiste, élu en 2022 grâce à une alliance improbable des partis traditionnels avec un «Front musulman».
RÉCIT - Après un bras de fer surréaliste, le président a fini par nommer son allié historique premier ministre. Comme un symbole du compagnonnage politique ambigu qu’entretiennent les deux hommes depuis 2017.
RÉCIT - Blanchi en première instance, le nouveau premier ministre attend toujours son audience en appel. Mais à ce jour, compte tenu de l’engorgement de la justice, aucune date n’a encore été retenue.