RÉCIT - Avant d’aborder les 300 agressions sexuelles et viols reprochés à Joël Le Scouarnec, la cour criminelle du Morbihan s’est plongée dans l’histoire familiale de l’ancien chirurgien, peuplée de « dysfonctionnements », de violences sexuelles et de secrets.
RÉCIT - L’ancien chirurgien encourt 20 ans de réclusion pour des agressions sexuelles et viols aggravés commis entre 1989 et 2014 sur 299 patients, mineurs pour la plupart. Son procès, qui a nécessité une organisation exceptionnelle, se tiendra à Vannes jusqu’en juin.
Le «chirurgien de Jonzac» était jugé à Saintes pour des agressions sexuelles et viols sur quatre personnes mineures au moment des faits.
Le «chirurgien de Jonzac» encourt vingt ans de réclusion criminelle dans le premier volet de ce dossier d'une ampleur inédite.
Le «chirurgien de Jonzac», accusé de «viols» et d'«agressions sexuelles», sera finalement jugé en octobre prochain.
Le «chirurgien de Jonzac» encourt 20 ans de prison pour «viols» et «agressions sexuelles» sur une voisine, une patiente et deux nièces, toutes mineures à l'époque des faits présumés.
Le «chirurgien de Jonzac» doit comparaître, à Saintes, pour «viols» et «agressions sexuelles» sur quatre jeunes filles, toutes mineures au moment des faits. L’audience pourrait se dérouler à huis clos.
Les parents de la petite fille qui a dénoncé le «chirurgien de Jonzac», soupçonné de centaines d’agressions pédophiles, réclament à cor et à cri un procès public en mars prochain.
FOCUS - En raison de la grève des avocats et surtout de la pandémie de Covid-19, le calendrier judiciaire de cette année 2020 est profondément bouleversé.
197 personnes ont déposé plainte, a annoncé la procureure de la République de Lorient Laureline Peyrefitte.