CONTRE-POINT - Critiquer l’action gouvernementale est un droit, y compris en matière de maintien de l’ordre. Mais cette critique perd toute légitimité dès lors qu’elle se substitue à la condamnation de la violence, elle, totalement illégitime.
Comme en 2016 et 2021, plusieurs personnalités politiques se sont livrées dimanche soir à Karine Le Marchand sur M6. L’occasion, à deux ans de la prochaine élection présidentielle, de retracer leur parcours, et d’humaniser leur image à l’aide de témoignages de proches.
BIBLIOTHÈQUE DES ESSAIS - Le journaliste Patrice Duhamel remonte le fil, dans La Photo, d’un document passé dans les mains de quatre présidents et d’une poignée de conseillers. Sa divulgation aurait assurément changé le cours de la Ve République.
EXTRAITS EXCLUSIFS - S’appuyant sur des témoignages et des documents inédits, Patrice Duhamel dévoile les raisons pour lesquelles les quatre présidents de la Ve République qui furent opposés à François Mitterrand refusèrent de rendre publique l’image stupéfiante de sa rencontre avec le maréchal Pétain en 1942.
FIGAROVOX/HOMMAGE - Décédé le 5 mars dernier, Jean-Claude Barreau fut prêtre, puis éditeur, conseiller politique et écrivain. Le député RN Guillaume Bigot lui rend hommage en saluant un homme qui su mener ses combats sans jamais céder à la haine.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Alors que la classe politique débat à nouveau de la réforme des retraites, les économistes David Le Bris et Sylvain Catherine ont calculé que l’introduction en 1982 d’une part de capitalisation aurait permis aux retraités de gagner davantage en ayant moins cotisé.
L’annonce publique de l’opération de Michel Barnier tranche avec l’opacité longtemps en vigueur sous la Ve République concernant la santé des responsables politiques.
TRIBUNE - La situation financière de la France aujourd’hui est bien plus dégradée que celle qui a conduit au « tournant de la rigueur » de François Mitterrand, souligne l’ancien conseiller de François Hollande*.
RÉGIS DEBRAY OU LES ILLUSIONS PERDUES DE LA GAUCHE (4/6) - En mai 1981, Régis Debray entre au cabinet de l’Élysée comme conseiller de François Mitterrand. «Taulard à 30 ans, chambellan à 40», il découvre au cœur de la machine du pouvoir combien la France a perdu son rang. Une déception qui le conduit à quitter la politique.
À la rentrée 1977, alors premier secrétaire du Parti socialiste, François Mitterrand affirmait que le président «n'a aucune obligation de choisir un premier ministre dans le parti qui a le plus grand nombre de voix».
L’ÉDITORIAL DU FIGARO - Comme François Mitterrand avant lui, Emmanuel Macron a surpris tout le monde en se rendant à Nouméa. Mais comment régler en quelques semaines ce qui aurait dû l’être en plusieurs années?